En cas d’accident de voiture, de cambriolage, et de sinistre, vous êtes couvert par l’assurance. Pour que l’assurance puisse évaluer les dégâts, elle doit faire une expertise technique avant même votre proposition d’indemnisation. L’expert doit être neutre tout au long de l’expertise. C’est après les conclusions de l’expert que vous saurez si vous pouvez avoir droit à une indemnisation vis-à-vis de l’assurance.
Qu’est-ce qu’une expertise technique d’assurance ?
Suite à un sinistre, l’expertise technique d’assurance est une sorte de constatation faite par un ou plusieurs experts en assurance. Le but de cette expertise est d’estimer le montant et l’importance des dommages subis par le bien de l’assuré. C’est souvent la compagnie d’assurance qui doit engager l’expert. Pour mieux détailler, à première vue, la mission de l’expert est d’obtenir toutes les informations sur les éléments techniques utiles pour évaluer les dégâts. Après l’identification, l’évaluation et le chiffrage de la somme des biens volés, détériorés, endommagés, l’expert doit proposer les meilleures solutions possibles pour l’assuré.
D’autre côté, l’expertise technique d’assurance aussi est servie pour connaitre la source du sinistre. C’est pour cela, les compagnies d’assurance utilisent des technologies récentes pour mieux repérer la source d’incendie. Vous pouvez plus d’information en visitant assurance-immobilier.info.
Une fois que le délai rapport expert assurance touche à sa fin, la compagnie d’assurance devra proposer à l’assuré une offre d’indemnisation. Cette offre sera en fonction des dégâts et le contrat fait entre les deux côtés. Si l’assuré a du mal avec le rapport de l’expert engagé par la compagnie, il y a ce qu’on appelle un litige d’assurance. Pour cela, il a le droit d’engager un autre expert pour faire une constatation sur le rapport précédent.
Qu’est-ce qu’une contre-expertise ?
Après la déclaration de l’assuré auprès de sa compagnie d’assurance, la compagnie doit engager un expert pour faire une expertise technique. Lorsque l’assuré n’est pas en accord avec le rapport fait par cet expert, il a le droit de faire appel à un deuxième expert, et ce sera lui qui va l’engager pour faire une contre-expertise de ce rapport. En fait, après le désaccord, l’assuré doit faire la contre-expertise dans les trois semaines qui suivent. Alors il faut faire vite toutes les procédures pour engager un expert. Mais si l’assuré a un contrat remboursant les prestations de ce genre, dans ce cas les coûts d’intervention de l’expert ne sont pas à sa charge, par contre avec un budget de limite fixée.
Cette expertise est aussi dite contradictoire, en fait la mission ce deuxième expert en assurance est de désapprouver ou confirmer les conclusions de la constatation durant le délai rapport expert assurance du précédent expert. Le deuxième expert propose une offre plus favorable pour l’assuré à la compagnie d’assurance. Alors, après une contre-expertise, les deux côtés peuvent trouver un accord amiable, mais si ce n’est pas le cas, il y a une autre procédure à prendre.
Procédures à prendre en cas de litige d’assurance
Dès que l’expert de la compagnie et l’expert de l’assuré n’arrivent pas à régler le problème délicat, alors que le délai rapport expert assurance précédent est déjà terminé, il y a encore deux autres procédures recommandées.
- La tierce expertise : il s’agit d’engager un nouvel expert choisi d’un commun entre les deux côtés, les frais de l’intervention de ce dernier sont partagés à part égaler. Après l’intervention de cet expert commun, s’il y avait encore un désaccord, ce serait le tour du tribunal du commerce ou même du tribunal de grande instance de prendre le relais.
En fait la mission du troisième expert est d’apporter un rapport impartial sur les éléments techniques à propos du sinistre. C’est pour cela qu’il est aussi appelé expert arbitre. Suite à cette intervention du troisième expert, si les deux parties trouvent une entente, alors l’affaire est close. Mais si elles sont encore en désaccord, une expertise judiciaire sera entamée.
- L’expertise judiciaire : tout comme la tierce expertise, l’expert judiciaire n’est pas un juge, son rapport est très important lors du jugement. Les frais de cette intervention sont coûteux et avec des procédures longues. À ce stade, une solution amiable entre l’assureur et l’assuré est toujours recommandée pour éviter le procès.
Comment devenir un expert d’assurance ?
Lors du délai rapport expert assurance, les tâches d’un expert en assurance sont souvent complexes, mais si vous êtes intéressés par ce métier, il vous faut d’abord quelques qualités personnelles à disposer. Il faut être rigueur et objectif, mais surtout il faut avoir un bon sens d’analyse. Appart ces qualités, il y a aussi des compétences exigées. Nous allons prendre quelques exemples :
- Niveau bac +2 : BTS assurance, un diplôme d’expert en automobile…
- Niveau bac +3 : Licence professionnelle en banque et assurance…
- Niveau bac +5 : Master en monnaie, finance, banque, assurance…
Pour être engagé, avant d’être un expert d’assurance libre grâce à votre notoriété, il vous faut d’abord un cabinet d’assurance chez un assureur.